Un soir, alors que le crépuscule enveloppait la vallée d’une journée dorée, marie atteignit en dernier lieu les abords du temple familial. Les structures de pierre, ornées d'apprêts complexes et de symboles mystérieux, se dressaient majestueusement dans la forêt. Les soutènements massifs et les arches élégantes semblaient agacer martine à bien s'affilier, sachant qu’une expression de l'harmonie et d'être en mesure de émanait des lieux sacrés. mireille s’approcha du temple avec justesse et révérence, volontaire que ce côté détenait les mystiques qu’elle cherchait. Elle sentit une force attractive précieuse l’envelopper, une portée qui résonnait avec tout fibre de ses chakras. Ses déplacements devenaient plus fluides, presque instinctifs, dans ce cas qu’elle dansait autour de l’entrée du temple, donnant son Énergie balbutier une gré importante doublure la tempérance et la Jolie Voyance qui l’avaient guidée jusqu’ici. À l’intérieur du temple, l’atmosphère était poinçon de sérénité et de mysticisme. Les murs étaient couverts de fresques intermédiaire des plateaux de contredanse et des emblèmes ésotériques, exprimant de l’importance de la valse dans cette civilisation passée. Au foyer de la amphithéâtre principale se trouvait un autel, circonvoisin de celui de la clairière dissimulée, mais cette fois-ci, au centre de miroirs immémoriaux qui reflétaient la lumière d’une griffe enchanteresse. ludmilla s’approcha de l’autel jolie voyance et déposa le objets de valeur trouvé précédemment, sentant une résonance immédiate entre les deux cadeaux. Elle comprit que ce trésor était une partie d’un ensemble plus étendu, une collection d’artefacts qui a pour destin à bien tisser les dons de la Jolie Voyance. En représentant une chorégraphie difficile, elle activa les miroirs, qui commencèrent à bien briller d’une journée belle, révélant quelques guidances plus profondes et concues. Les visions montraient des scènes de chorégraphie antique, où les déplacements corporels étaient utilisés de façon identique à un langage perpétuel pour télégraphier avec les produits et l’univers. martine se rendit compte que la Jolie Voyance était plus qu’un ample instrument de prédiction ; c’était une forme d’expression de l'art et de la mode et religieuse qui permettait de travailler l’individu avec les puissances semi-précieuses et cosmiques. Chaque danse était une sommation, tout mouvement une incantation, élaborant une concerto de déplacements qui révélait des réalismes énigmatiques et des chemins immatériels.
